L’art-thérapie implique l’utilisation de techniques créatives telles que le dessin, la peinture, le collage, le coloriage ou la sculpture pour aider les individus à s’exprimer artistiquement et à examiner les nuances psychologiques et émotionnelles de leur art.
Grâce aux conseils d’un art-thérapeute formé et accrédité, les patients peuvent, par exemple, avoir comme objectif de décoder les messages non verbaux, les symboles et les métaphores souvent présents dans ces formes d’art.
Ainsi, sauf contre-indications, le but de l’art-thérapie devrait conduire à une meilleure compréhension de leurs sentiments et de leur comportement afin qu’ils puissent passer à la résolution de problèmes plus profonds : stress, insomnie, douleur chronique, traumatismes, etc.
D’autre part, l’art-thérapie, ou l’art à des fins thérapeutiques, peut aider le plus grand nombre en complément des thérapies classiques. Plusieurs études cliniques récentes confirment ses nombreux effets positifs. Les enfants, les adolescents et les adultes peuvent explorer leurs émotions, améliorer leur estime de soi, mieux gérer les dépendances, soulager le stress, améliorer les symptômes d’anxiété et de dépression, et faire face à une maladie physique ou à un handicap.
Les art-thérapeutes travaillent avec des individus, des couples et des groupes dans divers contextes : hôpitaux, centres de soins et de bien-être, prisons, centres pour personnes âgées (EHPAD) et autres organisations communautaires. Aucun talent artistique spécifique n’est nécessaire pour que l’art-thérapie réussisse, car le processus thérapeutique ne porte pas sur la valeur artistique de l’œuvre, mais plutôt sur la recherche d’associations entre les choix créatifs effectués et la vie intérieure du patient.
L’œuvre d’art peut être utilisée comme un tremplin pour réveiller des souvenirs et raconter des histoires susceptibles de révéler des messages et des croyances de l’inconscient de chaque personne.
Introduction
L’art-thérapie peut se définir comme un ensemble de plusieurs méthodes et formes de thérapies expressives qui associent l’art au désir de soigner. L’art à des fins thérapeutiques est une démarche complémentaire de plus en plus présente dans la prise en charge et le traitement de différentes pathologies : dépression, anxiété, maladie d’Alzheimer, hypertension artérielle, troubles de l’attention, etc.
En effet, cette pratique utilise le processus créatif de création artistique (théâtre, dessin, peinture, musique, etc.) pour améliorer le bien-être physique, mental et émotionnel d’une personne ou d’un groupe de personnes.
La genèse de l’art-thérapie et de son pouvoir thérapeutique est abordée depuis la nuit des temps et à partir de la Renaissance dans plusieurs écrits [1]. Cela marque un grand chapitre dans le passage de l’art-thérapie traditionnelle à l’art-thérapie moderne, avec une voie tracée vers différentes approches et références théoriques toujours en développement.

Quels sont les objectifs de l’art-thérapie ?
L’art à des fins thérapeutiques : comment fonctionne l’art-thérapie ?
Le processus créatif impliqué dans l’expression artistique de soi peut aider les gens de multiples façons. Effectivement, l’art-thérapie, tout comme l’équithérapie [3], peut aider à résoudre, développer et gérer des comportements et des sentiments, notamment réduire le stress et améliorer l’estime de soi.
L’art-thérapie est une forme de psychothérapie qui utilise les médias artistiques comme principal mode d’expression et de communication. Différentes médiations sont employées : expression théâtrale, arts plastiques (médiation picturale avec un artiste peintre d’art contemporain, dessin, etc.), musique, ateliers d’art pour créer des marionnettes, et bien d’autres encore. À ce propos, notre article sur les bienfaits de la danse sur le cerveau montre comment le mouvement créatif peut également avoir des effets thérapeutiques remarquables.
Soulignons que, dans ce contexte, l’art n’est pas utilisé comme outil de diagnostic. L’art sert ici de moyen de traiter des problèmes émotionnels qui peuvent être déroutants et angoissants, malgré des prises en charge avec des thérapies médicamenteuses.
Ainsi, les art-thérapeutes ont des publics visés assez larges et peuvent faire partie d’un protocole thérapeutique au sein d’une équipe de professionnels de la santé (psychologue clinicien, psychiatre, etc.) pour mettre en œuvre des séances d’art-thérapie adaptées.
Ils travaillent dans tous les secteurs de la santé avec des enfants, des adolescents, des jeunes adultes, des adultes et des personnes âgées. Leurs lieux de pratique vont des hôpitaux et cliniques aux EHPAD (Établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes), en passant par les écoles, les centres de soins, les maisons de repos et les crèches.
Notons que les « patients » peuvent avoir un large éventail de difficultés, de handicaps ou de diagnostics : problèmes de santé émotionnelle, comportementale ou mentale, troubles d’apprentissage ou physiques, conditions limitant la vie sociale, troubles neurologiques et maladies physiques.

L’art-thérapie se pratique en groupe ou individuellement
Selon les besoins des « patients », l’art-thérapie peut s’adapter, car ce n’est pas une activité récréative ou une leçon d’art — bien que les séances puissent être identifiées comme « agréables », offrir une « grande clarté » et améliorer la qualité de vie des participants.
Quelle que soit la visée des médiations artistiques, autant pour faciliter la création du lien social que pour la promotion de l’insertion sociale et professionnelle, cette pratique n’oblige pas les personnes à avoir une expérience ou une expertise préalable en arts.
Même si les arts-thérapies servent à la stimulation des capacités créatrices, elles sont également influencées par la psychanalyse et les grands psychologues cliniciens.
En effet, dans l’histoire, la majorité des art-thérapeutes se sont inspirés de théories telles que la psychothérapie basée sur l’attachement. Depuis, ils ont développé un large éventail d’approches centrées sur les patients, comme les traitements psychoéducatifs ou les thérapies cognitives (pleine conscience, etc.).
Coloriage, peinture, dessin, théâtre : comment faire de l’art-thérapie ?
L’art-thérapie implique l’utilisation de techniques créatives telles que le théâtre, le dessin, la peinture, le collage, le coloriage ou la sculpture pour aider les gens à s’exprimer artistiquement et à analyser les nuances psychologiques et émotionnelles de leur œuvre.
Grâce aux conseils d’un art-thérapeute disposant de certifications professionnelles, les patients peuvent apprendre à déchiffrer les messages non verbaux, les symboles et les métaphores souvent nichés dans les arts.
Lorsqu’un art-thérapeute pratique des séances d’art, il permet aux patients de développer une meilleure compréhension de leurs comportements et de leurs sentiments. Ainsi, ce protocole thérapeutique permet d’aller vers une résolution de problèmes plus profonds.
Par exemple, l’art-thérapie peut aider les enfants, les adolescents, les adultes et les personnes âgées à : explorer leurs émotions, améliorer leur estime de soi, gérer leur dépendance, soulager leur stress (trouble de stress post-traumatique, etc.), améliorer leurs symptômes d’anxiété et de dépression, et faire face à une maladie physique ou à un handicap.
Tout en utilisant un champ très large de pratiques et de styles comme le coloriage, la peinture, le théâtre, l’art contemporain, la danse, l’écriture ou la musique, l’art-thérapie est généralement limitée plus par les moyens et les capacités des pratiquants et des thérapeutes que par le choix des outils à disposition.
Enfin, rappelons que le processus thérapeutique ne concerne pas la valeur artistique de l’œuvre, mais plutôt la recherche d’associations entre les choix créatifs faits et la vie intérieure du patient. L’œuvre peut être utilisée comme un tremplin : elle peut réveiller des souvenirs et raconter des histoires qui mettent en évidence des messages et des croyances de l’inconscient. Ici, c’est davantage le processus psychique à l’œuvre qui importe.
L’art-thérapie peut-elle aider en cas de perte et de traumatisme ?
Comme pour toutes les formes de thérapies, et selon les cas, votre première séance d’art-thérapie consistera à faire un bilan.
En parlant au thérapeute, vous pourrez exprimer les raisons pour lesquelles vous souhaitez trouver de l’aide et découvrir ce que le thérapeute a à offrir.
De concert, vous élaborerez un plan de traitement qui consistera à créer une forme d’illustration. Ensuite, une fois que vous commencerez à créer, l’art-thérapeute pourra parfois simplement observer votre processus créatif pendant que vous travaillez, sans intervention ni jugement. Il souhaite assister et comprendre votre expérience intime de créativité.
Lorsque vous aurez terminé une œuvre d’art, ou pendant la création, le thérapeute vous posera des questions sur ce que vous pensez du processus artistique, ou sur ce qui a été facile ou difficile dans la création de votre œuvre. De même, il s’intéressera aux pensées ou aux souvenirs que vous avez pu avoir pendant que vous travailliez.
Généralement, le thérapeute vous posera des questions sur votre expérience et vos sentiments avant de fournir des observations.
Enfin, l’art-thérapie est fondée sur la conviction que l’expression de soi par la création artistique a une valeur thérapeutique pour ceux qui guérissent ou cherchent une compréhension plus profonde d’eux-mêmes et de leur personnalité.
De la sorte, les art-thérapeutes sont formés pour comprendre les rôles que la couleur, la texture, les sons et divers médias artistiques peuvent jouer dans le processus thérapeutique, mais aussi pour savoir comment ces outils peuvent aider à révéler les pensées, les sentiments et la disposition psychologique.
L’art-thérapie réduit la douleur et l’anxiété chez les patients cancéreux
Une étude [4] publiée en 2006 dans la revue Journal of Pain and Symptom Management a révélé que l’art-thérapie peut réduire un large éventail de symptômes liés à la douleur et à l’anxiété chez les patients atteints de cancer.
Dans cette étude, les patients atteints de cancer ont signalé des réductions significatives de huit des neuf symptômes mesurés après avoir passé une heure à travailler sur des projets artistiques de leur choix. Les patients, en unités d’oncologie, ont été suivis sur une période de quatre mois. Grâce à une échelle numérique, ils pouvaient évaluer leurs symptômes de douleur, fatigue, nausée, dépression, anxiété, somnolence, manque d’appétit, bien-être et essoufflement. Huit de ces neuf symptômes se sont améliorés, à l’exception de la nausée.
Mise à jour 2024 : Ces résultats ont été confirmés et renforcés par des recherches plus récentes. Une méta-analyse systématique publiée en décembre 2024 dans l’European Journal of Oncology Nursing [4b] a analysé les données de nombreux essais contrôlés randomisés. Les résultats démontrent que les interventions basées sur l’art réduisent significativement l’anxiété et la dépression chez les patients atteints de cancer. De plus, une étude de 2024 publiée dans Supportive Care in Cancer [4c] confirme que l’art-thérapie a des effets positifs sur la dépression, l’anxiété et la qualité de vie des patients cancéreux sous chimiothérapie.
Actuellement, de plus en plus de patients cancéreux se tournent vers des thérapies alternatives et complémentaires pour réduire les symptômes, améliorer la qualité de vie et renforcer leur capacité à faire face au stress. Ces études fournissent des preuves du rôle important que l’art-thérapie peut jouer dans la réduction des symptômes. L’art-thérapie permet aux patients de se concentrer sur quelque chose de positif et sur quelque chose qu’ils peuvent contrôler.
Cela confirme que l’art est un vecteur d’expression qui peut être préféré pour certains patients cancéreux, surtout pour ceux qui sont mal à l’aise avec la psychothérapie conventionnelle ou l’expression verbale.
L’art-thérapie réduit les maux de tête et le stress des adolescents
Comme le montrent de nombreux rapports, les adolescents présentent des niveaux de stress plus élevés que les adultes, et l’école constitue le facteur contributif le plus élevé.
D’après une étude pilote [5] publiée en 2019 dans la revue Art Therapy, des adolescentes ont déclaré avoir beaucoup moins de maux de tête après trois semaines de séances de pleine conscience et d’art-thérapie deux fois par semaine. Au début de l’étude, les participantes rapportaient en moyenne 7,38 maux de tête sur une période de deux semaines. À la fin de l’étude, ce nombre était tombé à 4,63 — soit une diminution de près de 40 %. Cette amélioration s’est maintenue même sept semaines après la fin de l’étude.
Les chercheurs ont exploré des activités de pleine conscience basées sur l’art que les écoles pourraient utiliser pour réduire les maux de tête, un effet secondaire courant du stress chez les adolescents.
Mise à jour 2025 : Une revue systématique publiée en 2025 dans la revue Mindfulness [5b] a analysé 26 études sur les interventions artistiques basées sur la pleine conscience chez les enfants et adolescents. Les résultats montrent des réductions significatives des symptômes internalisés et du TSPT (trouble de stress post-traumatique), ainsi que des améliorations de l’attention. Ces programmes se révèlent adaptables à divers contextes et défis psychosociaux.
Cette étude met en évidence des stratégies qui fonctionnent même si le niveau de stress global n’a pas beaucoup changé, comme l’indique la conclusion de l’étude originale.
L’art-thérapie pour les enfants atteints de troubles du spectre de l’autisme
Un travail universitaire avec des art-thérapeutes publié en 2017 dans la revue The Arts in Psychotherapy [6] met en évidence l’intérêt de traiter les enfants atteints de troubles du spectre de l’autisme (TSA) avec de bonnes pratiques.
L’étude a interrogé des art-thérapeutes travaillant avec des enfants atteints de TSA pour développer une compréhension plus claire de leurs techniques et approches. L’équipe de recherche a compilé et analysé les opinions d’experts sur des sujets tels que ce qui a fonctionné avec les patients, leurs objectifs au cours d’une séance, leur approche théorique préférée et les considérations qu’ils ont dû prendre lorsqu’ils travaillent avec des enfants atteints de TSA.
Il n’y avait pas de consensus sur les approches théoriques utilisées ; les thérapeutes devaient combiner un certain nombre d’approches théoriques afin de comprendre ce que cela signifierait dans la pratique.
Bien que les résultats de l’enquête aient varié, les chercheurs ont pu élaborer un ensemble de lignes directrices pour dispenser l’art-thérapie aux enfants atteints de TSA. Ces lignes directrices peuvent servir de base à une pratique réussie pour les nouveaux professionnels de l’art-thérapie et pour d’autres études.
Voici quelques exemples des meilleures pratiques trouvées : utiliser la même routine pour commencer chaque session, expliquer les instructions de manière cohérente, susciter la curiosité pour enseigner de nouvelles compétences, et être conscient des transitions entre les activités.
D’autre part, les chercheurs ont décrit des aspects de la pratique jugés inutiles. Ils ont mis en garde les art-thérapeutes sur une poignée de facteurs qui pourraient avoir des effets néfastes sur les patients, tels que le fait d’être trop directif, d’utiliser des matériaux artistiques trop stimulants et de forcer ou d’être restrictif dans les styles de communication.
Mise à jour 2024 : Une revue systématique publiée en mai 2024 dans l’International Journal of Art Therapy [6b] a analysé sept études sur l’art-thérapie pour les enfants et adolescents atteints de TSA. Les résultats indiquent que l’art-thérapie est probablement efficace pour améliorer les symptômes sociaux, comportementaux et moteurs des TSA. De plus, une autre revue systématique publiée en 2024 dans Healthcare [6c] a analysé 12 essais contrôlés randomisés et confirme que l’art-thérapie offre une alternative créative et holistique aux interventions traditionnelles pour les enfants atteints de TSA.
En effet, il est important que l’art-thérapie puisse être menée dans une situation formelle, tout en prenant en compte les nuances dans la façon dont est dispensée la directive sur l’art-thérapie. De fait, il s’agit en grande partie de connaître le patient et la manière dont il répond à la communication.
L’idée est qu’au fil du temps, il soit possible de rassembler des preuves que l’art-thérapie est efficace pour ces enfants, et aussi de démontrer comment et pourquoi c’est le cas. L’objectif ultime est d’éduquer les art-thérapeutes sur les meilleures pratiques ainsi que d’informer les patients, les parents et les enseignants des avantages possibles de l’art-thérapie pour les enfants atteints de TSA.

Comment devenir art-thérapeute ? Formations et certifications
Afin de dispenser des soins art-thérapeutiques, les art-thérapeutes sont généralement des cliniciens de niveau master qui travaillent avec des personnes de tous âges dans un large éventail de pratiques.
Guidés par des normes éthiques et un champ de pratique défini, leur éducation et leur formation supervisée les préparent à un travail culturellement compétent avec des populations diverses dans divers contextes.
Avant tout en honorant les valeurs et les croyances des individus, les art-thérapeutes travaillent avec des personnes confrontées à des problèmes de santé mentale et médicale, ou des personnes qui recherchent une évolution émotionnelle, créative et spirituelle.
Quelle formation pour devenir art-thérapeute ?
Actuellement, de plus en plus de pays dans le monde reconnaissent le statut d’art-thérapeute, bien que les formations ou les certifications professionnelles ne soient pas toujours obligatoires pour exercer selon le contexte et les patients.
En France, comme le précise l’ONISEP [7], l’art-thérapeute est « intégré à l’équipe paramédicale (psychologue clinicien, etc.), l’art-thérapeute est un spécialiste de l’activité artistique qui exploite le pouvoir et les effets de l’art dans une visée thérapeutique et humanitaire pour soulager les personnes souffrant de déficits physiques, psychiques ou socio-relationnels. »
L’art-thérapeute exploite une technique artistique variée (musique, peinture, sculpture, danse, théâtre, mime, etc.) et doit conjuguer des compétences artistiques et connaissances en arts, esthétique, physiologie, psychopathologie, stratégie thérapeutique, protocole de prise en charge, etc.
Après le bac : De bac + 4 (titre RNCP art-thérapeute, certification RNCP médiateur artistique, DU art-thérapie) à bac + 5 (master mention création artistique, spécialités drama-thérapie/théâtre, arts plastiques, danse-thérapie, musicothérapie, etc.).
PROFAC : une formation en art-thérapie validée par l’État
PROFAC [10] est un institut de formation en art-thérapie créé en France en 1996. C’est aujourd’hui un organisme de formation et de recherche en art-thérapie.
Cet institut de formation est actuellement habilité à délivrer le « Certificat officiel d’art-thérapeute enregistré au RNCP (Registre National des Certifications Professionnelles) au niveau 6 de qualification (niveau de qualification reconnu par l’État) ».
Bien que d’autres types de certificats d’art-thérapeute existent, ils ne sont pas inscrits au RNCP. Ce « Certificat officiel d’art-thérapeute » permet de travailler en tant qu’art-thérapeute dans les pays de l’Union européenne au niveau 6 de qualification professionnelle.
Le niveau du « Certificat officiel d’art-thérapeute » délivré par PROFAC correspond à Bac+3 ou Bac+4 (Licence, licence professionnelle, Maîtrise, Master 1).
De plus, PROFAC est membre de la Ligue Professionnelle d’Art-Thérapie (LPAT) [11] et membre référencé par la Fédération Française des Art-thérapeutes (FFAT) [12].
Sources
[1] Journal of the American Art Therapy Association, https://www.tandfonline.com/loi/uart20
[2] Les bienfaits de la musicothérapie sur la santé, Blog Nutrition Santé
[3] Qu’est-ce que l’équithérapie ? https://www.ifequitherapie.fr/ressources/definitions/definition-equitherapie/
[4] Lindsey, H. Pilot Study: Art Therapy Can Reduce Cancer-Related Pain & Anxiety, Oncology Times, March 2006, Volume 28, Issue 6, p 14
[4b] Keklik, D. et al. The effectiveness of art-based interventions for cancer patients: A systematic review and meta-analysis. European Journal of Oncology Nursing, December 2024
[4c] Chen, D. et al. The effectiveness of therapeutic artmaking on depression, anxiety, quality of life, and psychological distress in cancer patients on chemotherapy: a systematic review of the literature. Supportive Care in Cancer, March 2024, 32(4):245
[5] Björling, E.A., Stevens, C., Singh, N.B. Participatory Pilot of an Art-Based Mindfulness Intervention for Adolescent Girls With Headache. Art Therapy, 2019; 36(2):86
[5b] Mindfulness-Based Art Interventions for Promoting Child and Adolescent Mental Health and Well-being: A Systematic Review. Mindfulness, 2025, https://link.springer.com/article/10.1007/s12671-025-02570-3
[6] Van Lith, T., Woolhiser Stallings, J., Elliott Harris, C. Discovering good practice for art therapy with children who have Autism Spectrum Disorder: The results of a small scale survey. The Arts in Psychotherapy, 2017; 54:78
[6b] Vogel, S.W., Mullins, K.L., Kumar, S. Art therapy for children and adolescents with autism: A systematic review. International Journal of Art Therapy, 2024; 30(2):113-122
[6c] The Effectiveness of Art Therapy on Children and Adolescents with ASD: A Systematic Review of RCTs. Healthcare, 2024; 13(22):2960
[7] Art-thérapeute, ONISEP
[8] Art-thérapeute, Formation ONISEP
[9] DU Art-thérapie, Formation ONISEP
[10] PROFAC, https://www.artherapie.com/
[11] Ligue Professionnelle d’Art-Thérapie (LPAT), https://artherapie.levillage.org/
[12] Fédération Française des Art-thérapeutes (FFAT), https://www.ffat-federation.org/
